Je me suis arrêté(e) à l’entrée de l’autoroute, et j’ai pleuré(e).

Je me suis arrêté(e) à l’entrée de l’autoroute, et j’ai pleuré(e).

Je me suis arrêté(e) à l’entrée de l’autoroute, et j’ai pleuré(e).

Phobie Autoroute Hypnose

Une virée sur l’autoroute de ma phobie

Aujourd’hui, c’est le grand départ en vacances pour la famille.

La voiture est chargée, pleine à craquer.
Depuis ce matin 6h, je suis sur les chapeaux de roue, trop content(e) d’enfin partir avec mes petits loulous.

Mais pourquoi, je commence à trembler ? Je sens un truc bizarre qui monte !

NON, rien de bien grave, c’est surement la pression des derniers jours de taf, qui s’envole …

Ça y toute la petite famille est embarquée dans la voiture, et nous voilà ENFIN prêt à faire cette belle et longue route jusqu’au nid douillet que l’on a choisi.

Et M*****, encore ce sentiment bizarre qui, re-pointe le bout de son nez.
Ah, c’est bon, je sais : “c’est de prendre la route qui me stresse un peu, je vais prendre un truc pour me désangoisser.”

La fausse pilule “naturelle” du bonheur.

Voilà, en moins de 5 minute, c’est passé.
Elles sont vraiment géniales, ces petites pilules “Tran-Kill” que m’a conseillé mon collègue.

C’est bon tout est redevenu dans l’ordre, encore un peu ces gargouillis dans le ventre, mais ça va le faire. EN ROUTE pour les vacances.

Allez, un dernier petit check, avant de mettre le contact.
Tout est ok !!
Mince, j’ai encore ces trucs dans l’estomac.
Allez, ce n’est pas grave, quand on sera arrivé, je vais prendre du temps pour moi (le jacuzzi a l’air trop bien !!)

CONTACT !! LET’S GO !!

Et p*****, c’est quoi ce mal de bide, qui arrive !!
Allez dans 2 kilomètres, c’est l’autoroute et là, ça va rouler crème.

Chouette la barrière de l’autoroute … Mais, j’ai les mains moites,
Pourquoi j’ai envie de chialer ?

Allez encore un peu, et on est sur l’autoroute … Et ça va allez, NO SOUCIS.

NON, ÇA NE VA PAS, MAIS PAS DU TOUT … !!! B****L !!

Highway to HELL, L’autoroute de l’enfer …

Il faut que je m’arrête, là, de suite, ici, maintenant.
Et les gosses qui demande déjà en cœur : “Quand est ce qu’on arrive ??” Ils ne vont pas s’y mettre eux aussi.

J’aurais dû prendre le train, et chiotte. C’est tranquille le train, on ne conduit pas. ET quand on ne conduit pas, on est zen.

Mais là, je suis en train de pleurer, de trembler, de m’énerver sur l’aire d’autoroute.
Et en plus, il y a tous ces gens qui passe à côté de moi et qui me regarde comme si j’était barjot.

A super, j’ai pris dans les bagages mes pilules “Tran-Kill”. Directement 5, comme ça je vais tenir sur la route.
En tout cas, j’espère qu’elles sont bien naturelles, ce n’est pas grave, tant que je fais la route ZEN.

CONTACT !! LET’S GO !! (Saison 2)

Bizarre, la voiture ne roule pas droit.
J’ai bien dormi cette nuit, et je m’en sens déjà fatigué.
Et les mômes, avec leur comptine, il me tape sur le système.
Zut, je viens de fermer les yeux là, non… Mais NOOOOONNN !!!

Le prochain arrêt, je me pose 5 minutes.
Je ne vais pas prendre de risque de m’endormir avec les petits à l’arrière, quand même.

C’est bon, ça va mieux.
Il faut que je reparte, la route est longue, et je me suis déjà arrêté 2 fois.
Elle est où cette plaquette de “Tran-Kill”, je vais en prendre encore 3 ou 4, avant que le mal de bide revienne.

CONTACT !! LET’S GO !! (Saison 3)

Elle vient d’où cette moto, je ne l’ai pas vu venir dans mes rétros. Et ce camion de m****, il fait quoi là.

Il me stresse tous, avec leurs grosses voitures et ces camions qui se doublent sans arrêt. J’en ai les mains moites, et le bide en compote.

Prochain arrêt, une pause.
CONTACT !! LET’S GO !! (Saison 4)

Encore 300 bornes, et je me suis déjà arrêté 3 fois.
Aller plus de pause, sinon mes vacances seront déjà finies et je ne serais pas encore arrivé(e).

Tu la sens arrivé la suite de l’histoire … CONTACT !! LET’S GO !! (Saison 5)

Encore plus de route, encore plus de cachet “Tran-Kill”, encore plus d’arrêt, encore plus d’etc. … Les tripes à l’envers, les mains moites, la tête en vrac….

Ne plus embarquer le 6émé passager …

Maintenant que tu fais ton énième arrêt, fini ta boite de cacheton “Tran-Kill”, pleuré comme une madeleine chaque fois que tu mets le contact, crié comme un(e) taré(e) après les gamins …

Prends quelques instants, souffle un bon coup, et regarde tes mains moites, ton cœur qui bat la chamade, ton bide en PLS, ils veulent peut-être te dire quelques choses !!

Depuis que tu as pris la route, tu te voile la face, à coup de médoc, de cette peur qui a embarqué avec toi, depuis que tu as fait ta valise.

Ce passager clandestin, qui c’est faufiler dans tes bagages, qui te pourri la vie à chaque fois que tu dois prendre la voiture pour aller quelque part, il a un nom : Phobie (amaxophobie, c’est dur comme injure) .
Le nom est posé là, on dirait presque une insulte, mais c’est ce que tu vis depuis belle lurette.

Ce n’est pas un gros mot, c’est simplement une réalité, ta réalité.

Ok, maintenant que tu as traversé le miroir, découvert ta réalité, il reste quoi comme solution pour ne plus ressembler à une loque à chaque fois que tu vas être en voiture.

Elles sont si nombreuses ces solutions : longues, courtes, douces, brutales, inefficaces, efficaces …

L’hypnothérapie est l’une d’entre elles.
Et pourquoi l’hypnose, plutôt qu’une autre !!

Passer un pacte avec le 6émé passager, grâce à l’hypnose.

L’hypnose en plus d’être un outil, c’est un moyen de retrouver rapidement cette sérénité qu’il faut pour partir en vacances au volant de votre voiture, sans ce 6émé passager.

Et pourquoi est-ce que l’hypnothérapie, marchera mieux sur vous ?
Tout simplement, en allant revoir, revisiter, réinterpréter, ensemble, ce qui fait que le 6émé passager s’invite sans demander.

C’est le grand jour, enfin les vacances …

Mais avant de dire ces mots avec l’esprit tranquille pour prendre la voiture, il est d’une importance capitale pour TOI de signer ce pacte.

Et je me doute bien de ce que tu vas me dire : “on fait comment pour signer ce contrat ?” Contacte-moi, et je t’explique comment.

Spoiler : ça marche aussi pour le train, l’avion, les araignées, le vide, le trop plein … Et même les belles- mères.